Ce lundi devait être le «sommet de la dernière chance» entre la Grèce et ses créanciers. Au final, il n’y a eu ni catastrophe ni miracle. Mais de nouvelles propositions d’Athènes, qu’il faudra discuter d’ici à jeudi et surtout avant la date fatidique du 30 juin, quand les Hellènes ne pourront pas rembourser 1,5 milliard d’euros dus au FMI s’ils ne reçoivent pas le prêt attendu de 7 milliards.