«Si on est renvoyé dans notre pays, là-bas, ils nous tueront. Alors autant mourir ici.» Ici, c’est la porte de fer, unique point de passage sur la frontière gréco-macédonienne, à Idomeni. Nazim, un Iranien de 45 ans, sera le dernier à être délogé manu militari par les CRS macédoniens.