Quatorze heures sonnantes. L’école primaire No 67 de Thessalonique, située dans le quartier défavorisé de Xinokrini, derrière la gare, attend ses nouveaux élèves: 33 enfants venant du camp de réfugiés de Derveni, près du sanctuaire de Zeus olympien de Dion. C’est enfin leur rentrée, un mois après celle des petits Grecs.
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